måndag 7 januari 2013

iPhone App Simule Ados abus Rencontres - Technologie - Technologies de l'information

Les parents peuvent

pense qu'ils apprécient ce que c'est que d'être un adolescent aujourd'hui, mais qu'ils ont vécu en aucun cas la main la vie de leur adolescent technologique d'abord. Jusqu'à maintenant.

L'amour n'est pas app iPhone abus est de donner aux parents un goût de violence dans les relations numérique. Alors que la technologie mobile est devenue plus répandue, elle a aussi conduit à de nouvelles formes de mauvais traitements en particulier pour les adolescents dans de mauvaises relations.

L'application, lancée par l'Amour Liz Claiborne Inc est croisade Pas d'abus, les parents des places dans les positions de leurs enfants adolescents - textos, courriels et appeler à une fiction abusive "petit ami" ou "petite amie". Ces faux communication posent des situations courantes en numérique abus, comme hostile à supprimer des amis des réseaux sociaux ou de publier des photos malhonnêtes. Alors que le soft ne fait pas accéder au compte de l'utilisateur Facebook, les parents d'obtenir un avant-goût de la nature intrigante d'une relation négative chez les adolescentes.

numérique abus est une tendance en pleine croissance. Près de 24% des adolescents américains ont été victime d'une technologie de mauvais traitements à partir d'un petit ami ou une petite amie et plus de 50% connaissent quelqu'un qui a été persécuté, selon une Liz Claibourne Inc and Futures sans violence 2009 Ados Rencontre abus inspection L'application

forme les parents à reconnaître l'unicité de relations abusives. psychanalyste Dr Jill Murray, un bailleur de fonds pour le développement de l'application, affirme que la plupart des parents ne peuvent pas identifier correctement les signes avertisseurs de violence datation. "Le point principal de l'application est d'amener les parents à parler à leurs adolescents. Alors que la plupart des parents discuter de drogues, d'alcool et de sexe avec leurs enfants, seulement plus de la moitié de discuter abus de rencontres." Dr

Murray affirme que les adolescents, surtout les filles, mal interpréter les textes envoyés dans le milieu de la nuit comme des signes de l'attention démonstratif. Souvent, cette communication dominateur peut être un signe d'abus connexion. «Quand un enfant est maltraité, la première chose est qu'ils ne savent pas qu'ils sont victimes de violence», dit Murray.

signes alarmants: quand un adolescent vérifie constamment son téléphone à la table du dîner, devient frénétique à l'idée de débrancher pendant 15 minutes, présente des éraflures ou contusions impénétrables, arrête de passer du temps avec les amis et la famille ou commence à faire des excuses pour un autre significatif mauvais comportement.

Le simulateur est orientée vers le caractère distinctif spécifique des hommes et des femmes abusives. Les messages de menaces proviennent d'un "petit ami" et le contact excessif provient d'un "petite amie". Dr

Murray encourage les parents à vérifier les factures de téléphone de leurs enfants, doutant de la plupart des parents prennent conscience que leurs enfants peuvent envoyer jusqu'à 18.000 textes chaque mois. "Je suis un défenseur de grande vérité que le téléphone cellulaire appartient à la société mère. Si vous avez des doutes ou concernées vous ne pouvez absolument mettre en place vos mains et dire: «Donne-moi ton téléphone." "

Avant l'introduction de l'application, l'amour n'est pas la campagne abus créée programmes scolaires et fourni des ressources pour les parents sur leur site web. Le soft est leur première plateforme ciblant spécifiquement les abus de la technologie.



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